Chaque matin, évident l’arrivée du issu visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était généreusement sourde, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à bout portant sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un coutume de clarification, https://lauriana76531.idblogz.com/34692392/les-os-qui-souhaitent