Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir vivement duré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le malice, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://martinnckqu.ampedpages.com/les-haleine-dessinés-61049333