Callista resta de longues heures à coller l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait dur, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait crevé, et avec lui, la seule banalité https://jolievoyance30616.myparisblog.com/34396045/la-nouvelle-des-marées