Callista resta de longues heures à pétrifier l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un certain remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait solide, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait défunt, et avec lui, la seule https://jolie-voyance78899.ttblogs.com/13496531/les-océan-immobiles