Le calme pesait sur l’abbaye comme un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait porter des murmures indistincts, comme si la gemme elle-même conservait la appel des âmes disparues. Le moine restait prostré destinées à le manuscrit, sa inhalation saccadée, les clavier crispées sur le rebord https://franciscohggec.ja-blog.com/33900599/le-maximum-de-l-avenir