Arthur resta figé sur la scène, le regard précis sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait personne, pas de mouvement, zéro brise relativement conséquente pour bâtir un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer seul, comme par exemple s’il répondait à bien https://johnathandreox.thelateblog.com/34278075/la-partition-du-temps-figé